Plomb:Selon les rapports de CCTV, la société japonaise Mitsubishi Electric, vieille d'un siècle, a admis que les transformateurs qu'elle produisait présentaient un problème de données d'inspection frauduleuses.Le 6 de ce mois, les deux certificats de certification de gestion de la qualité de l'usine impliquée dans l'entreprise ont été suspendus par les agences de certification internationales.
Dans le quartier central des affaires, près de la gare de Tokyo, le bâtiment derrière le journaliste est le siège de Mitsubishi Electric Corporation.Récemment, l'entreprise a admis que les données des transformateurs fabriqués par une usine de la préfecture de Hyogo avaient été falsifiées lors de l'inspection effectuée avant de quitter l'usine.
Affecté par cela, l'organisme de certification international a suspendu le 6 la certification internationale du système de gestion de la qualité ISO9001 et la certification des normes internationales de l'industrie ferroviaire de l'usine concernée.Il convient de noter que 6 usines Mitsubishi Electric ont successivement annulé ou suspendu les certifications internationales pertinentes en raison de problèmes tels que la fraude au contrôle qualité.
Une enquête indépendante commandée par Mitsubishi Electric a révélé que la fraude aux données des transformateurs de l'entreprise remontait au moins à 1982 et s'étendait sur 40 ans.Les près de 3 400 transformateurs concernés ont été vendus au Japon et à l'étranger, notamment aux compagnies ferroviaires japonaises et aux centrales nucléaires en exploitation.
Selon les enquêtes des médias japonais, au moins neuf centrales nucléaires japonaises seraient impliquées.Le 7, le journaliste a également tenté de contacter Mitsubishi Electric pour savoir si les produits en question entraient sur le marché chinois, mais en raison du week-end, ils n'ont pas reçu de réponse de l'autre partie.
En fait, ce n'est pas la première fois qu'un scandale de contrefaçon survient chez Mitsubishi Electric.En juin de l'année dernière, l'entreprise a été exposée à un problème de fraude lors du contrôle qualité des climatiseurs de train et a admis que ce comportement était une fraude organisée. Il existe une entente tacite entre ses employés internes depuis 30 ans. Ce scandale a également amené le directeur général de Mitsubishi Electric à endosser la responsabilité. Démissionner.
Ces dernières années, de nombreuses entreprises japonaises de renom, dont Hino Motors et Toray, ont été exposées les unes après les autres à des scandales de fraude, jetant une ombre sur le panneau doré « made in Japan » qui prétend être une assurance qualité.
Heure de publication : 10 mai 2022